domingo, 11 de enero de 2015

À une femme que je connais et je ne connais pas

Combien d'annés doivent passer pour pouvoir regarder cet éclat si dangereux de tes yeux? Peut-être il faut oublier quoi que ce soit. Au de-là de mon coeur habite la solitude. Moi, je reconnais l'impossibilité de faire quelque chose pour perdre le peur et te parler. Tu m'as déjà vu mais tu ne m'as pas regardé. C'est cela! Cet abîme si silencieux est mon enfer, le silence éternel- celui de Pascal- est ma condamnation; mais n'est pas un Dieu, c'est toi qui toit. Et encore le feu de mon âme- qui est sur le point de crier ton nom- veut te trouver n'importe quel jour, peu importe sous quelle étoile.

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